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Nous vous proposons deux extraits saisissants dans lesquels Dietrich Bonhoeffer met à nu la force destructrice de la stupidité et son enracinement dans le pouvoir.

Dans un monde traversé par la complexité, diriger ne consiste plus à imposer, mais à élever. Ce texte explore une autre manière d’exercer l’autorité : par la clarté, la justesse, et le respect de la dignité humaine.

Dans un monde où l’ego se maquille en leadership, l’humilité paraît démodée, presque suspecte.
Et si elle était pourtant la vertu la plus subversive, la plus féconde… et la plus urgente à réhabiliter en entreprise ?

La vérité ne s’impose pas, elle se présente. À l’heure des langages idéologiques, la reconnaître et la dire devient un acte libre, fragile, et décisif.
 

À l’heure où toute parole ferme est soupçonnée d’excès, la radicalité devient suspecte.
Cet article éclaire, point par point, ce qui distingue un radical exigeant d’un fanatique dangereux.

À l’heure où nos repères vacillent, où les mots se vident et les fondements chancellent, une question surgit : que peut le juste ?
Athènes, elle aussi, connut l’apogée… puis la chute. Son histoire éclaire la nôtre.

Compromis ou consensus ? Derrière ces deux manières de “s’entendre”, ce sont deux visions du collectif qui s’affrontent : l’une apaise, l’autre unit.
Car seul le consensus fait émerger un sens partagé.

Comment faire tenir une équipe sans l’uniformiser ? Comment créer du collectif sans étouffer les singularités ?
Ce troisième épisode explore, très concrètement, ce que cohésion veut dire… quand il s’agit de manager.

Et si le vrai problème n’était pas le manque de cohésion, mais la confusion sur ce que cela veut dire ?
Avant de revenir au concret du management, prenons le temps de penser : comment faire “Un” sans se perdre ?